Ceci est un extrait d'un texte , la chaleur de l'accueil est à son paroxysme.
<<.... Nous venons de rentrer d'ALGER, j'ai voulu faire connaître à mes enfants et à mon mari cette manifique ville.
Je dois dire que mes enfants étaient réticents au départ, mais il ont accepter de faire ce voyage et de connaître mes souvenirs, nous avons passés une semaine formidable, nous n'avons pas tout vu, hélas, mais je leur ai promis que nous y reviendront une autre fois. Nous avons retrouvés d'autres pieds noirs, qui avaient voulu faire ce voyage. Nous étions accompagnés de deux guides algériens, nous avons été partout, même dans la casbah.
Alger est toujours aussi blanche mon mari et mes enfants nés en France n'en revenaient pas de la beauté de cette ville.
A aucun moment nous n'avons été embetés.
Nous sommes arrivés le dernier jour du ramadan, le lendemain commencait la fete, quand nous sommes arrivés dans le quartier où j'habitait, tous les algériens du coin voulaient nous faire manger le couscous, nous apportés des gateaux, nous ont offerts à boire. On ne trouve pas en France cette chaleur humaine, moi qui est été rejetée à mon arrivée en France, j'ai pleuré.
La chose qui a changée, c'est la circulation, ALGER est encombrée de voitures, et il est difficile pour nous de se véhiculer, grace à nos guides, nous n'avons pas rencontré de difficultés.
Nous avons été mangé un créponné, quand le patron a su que nous étions deux dames à être nées à ALGER, il nous a offert à toutes les deux le créponné.
Nous y retournerons, c'est sur. Quand l'avion nous a emporter et que j'ai vu ALGER s'éloignée, j'ai pleurée comme une gamine. Je me suis cachée pour pas que l'on me voit. Mais je sais que je peux y retourner, et c'est ce qui conte le plus pou moi.
Ce reve est devenu réalité. ...>>
maminou